samedi 8 mars 2014
Ecole d'art d'Altea
Après l'aménagement de mon nouvel appartement à Puerto Desportivo Campomanes
ma créativité a commencé à réclamer son dû.
Une amie australienne m'avait parlé de sa satisfaction de fréquenter deux fois par semaine l'Ecole d'art d'Altea dans laquelle semble-t-il aucun programme n'était imposé;
Je ne sais pas dessiner, ni même une pomme ou une banane.
Mais j'adore jouer avec les couleurs, es formes et l'équilibre.
Pourquoi ne pas essayer et bien m'en a pris.
Le premier travail que j'ai fait, je ne l'aime pas du tout. Je déteste ces pastels qui s'en vont en poussière, beurk, tout est sale.
Il s'en est allé en petits morceaux dans la poubelle.
La prof, Lydia, qui n'a pas grand monde à surveiller, nous ne sommes que 3, de son côté détaillait une grande feuille de cartons en zones à peindre à l'aquarelle, deux coups de pinceau, on laisse sécher et on découpe.
Là ça commençait à m'intéresser, j'ai demandé à apprendre la technique et vous avez vus les résultats dans un billet précédent.
Les zentangles commençaient à dévier de ceux des CTZ (certified zentangles teachers), ils sont terribles ces américains.
Technique de teinture de papier à l'encre de Chine, interprété à la maison au Nescafé pour fabriquer un cache pour la boîte à fusibles
Technique à la cire et nogaline (brou de noix)
Et tout ça m'amuse beaucoup, je me régale et ma créativité s'épanche.
Je me souviens avoir lu qu'un artiste qui ne crée pas commet un suicide, ça m'a boostée.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire